PUBLICATION IMMÉDIATE
6 décembre 2022
En cette Journée nationale de commémoration et d’action contre la violence faite aux femmes, nous pensons à toutes les mères, les filles, les sœurs et les tantes dont la vie a été interrompue.
Nous pensons à quatre femmes des Premières Nations de Winnipeg qui ont perdu la vie le printemps dernier aux mains d’un tueur.
Nous pensons à Savanna Pikuyak, une étudiante inuite qui a été poignardée à mort à Ottawa, en septembre. Nous pensons à Noëlle O’Soup et à Kwemcxenalqs Manuel-Gottfriedson, qui ont été tuées cette année à Vancouver. Nous pensons à Donna Charlie, dont les restes ont finalement été retrouvés en novembre, à Prince George, en Colombie-Britannique, 30 ans après qu’on lui eut enlevé la vie.
Et nous pensons à beaucoup d’autres.
Partout au Canada, les femmes doivent être vigilantes quant à leur sécurité. Les femmes des Premières Nations, les Inuites et les Métisses doivent prendre garde de faire partie du génocide en cours.
Nous pleurons nos sœurs disparues. Nous prenons dans nos bras les amis et les membres des familles qui sont en deuil de ces femmes pour les réconforter. Et nous demandons aux gouvernements et aux autres autorités de commencer à prendre des mesures concrètes pour mettre fin à ces meurtres.
Les femmes, y compris les femmes autochtones, ne sont pas sacrifiables.
-30-
For information, or to arrange an interview, contact:
communications@nwac.ca
343-996-4565
Pour obtenir plus d’information ou prendre des dispositions pour une interview, contacter:
communications@nwac.ca
343-996-4565